mercredi 4 septembre 2013

Miracles

Miracles, sculpture. 25.08.2013
"Il y a deux façons de concevoir sa vie. Une est de penser que les miracles n'existent pas et l'autre de penser que chaque chose est un miracle. (...) L'être humain est partie d'un tout, communément appelé l'Univers, une partie limitée dans le temps et l'espace. Il se perçoit lui-même, avec ses pensées et ses émotions, comme une entité séparée, une sorte d'illusion d'optique, créée par sa conscience, et qui le maintient dans une sorte de prison, une prison qui le limite à ses propres désirs et qui fait qu'il n'accorde son affection qu'à ceux qui lui sont proches. 
La tâche de l'être humain est de se libérer de cette prison, en élargissant le cercle de ceux qui méritent son affection jusqu'à inclure le genre humain tout entier, ainsi que la nature tout entière, dans toute sa beauté..." Albert Einstein 

Une tige de bambou qui aurait dû servir à boire le maté, un beau morceau de corail ramassé sur la plage en Equateur, un galet plat, une bague de cuivre en forme de serpent reçue en cadeau, un bout de laine rose vif trouvé dans la rue, une cordelette en fibres naturelles.
De là est née cette petite sculpture chamanique pleine de la force des éléments naturels assemblés: le végétal, l'animal et le minéral, l'océan et la terre...

"There are only two ways to live your life. One is as though nothing is a miracle. The other is as though everything is a miracle.
But without deeper reflection one knows from daily life that one exists for other people; first of all for those upon whose smiles and well-being our own happiness is wholly dependent, and then for the many, unknown to us, to whose destinies we are bound by the ties of sympathy.
A hundred times every day I remind myself that my inner and outer life are based on the labors of other men, living and dead, and that I must exert myself in order to give in the same measure as I have received and am still receiving.
A human being is part of a whole, called by us the "Universe," a part limited in time and space. He experiences himself, his thoughts and feelings, as something separated from the rest -a kind of optical delusion of his consciousness. This delusion is a kind of prison for us, restricting us to our personal desires and to affection for a few persons nearest us.
Our task must be to free ourselves from this prison by widening our circles of compassion to embrace all living creatures and the whole of nature in its beauty.
Only a life lived for others is worth living." Albert Einstein 

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